Le dossier Achraf Hakimi reste central avant Maroc–Zambie, parce qu’il touche à la fois au terrain et au leadership. Regragui a expliqué vouloir récupérer Hakimi “avec du rythme”, en visant une montée en puissance avant la phase à élimination directe. « On espère qu’il aura un peu de temps de jeu contre la Zambie pour qu’en huitièmes de finale il soit prêt… Avec Achraf, ce sera encore plus d’impact et de vitesse. Et puis c’est un leader », a-t-il indiqué.
Le technicien avait aussi détaillé, après le Mali, pourquoi il n’avait pas voulu forcer : Hakimi était “prédisposé” pour entrer, mais le contexte du match a poussé le staff à ne pas prendre de risque. « Sur le troisième match, on a des chances de voir Achraf débuter ou entrer… on a préféré ne pas prendre de risques », a-t-il expliqué.
Du côté du capitaine, des déclarations publiques récentes allaient dans le sens d’une approche collective : se sentir bien, mais accepter n’importe quel rôle si l’équipe gagne. À l’heure où j’écris, les sources facilement accessibles que j’ai consultées confirment sa présence en conférence de presse à la veille du match, mais ne publient pas encore de verbatim complet de ses propos “d’aujourd’hui”.

