À la veille d’un rendez-vous qui peut faire basculer le groupe A, le sélectionneur zambien Moses Sichone a cadré le discours : la Zambie n’a plus de marge et doit réussir un match référence pour rester en vie dans cette CAN au Maroc. Dans le camp des Chipolopolo, l’idée est claire : accepter le statut du Maroc, sans s’y résigner.
Face au pays hôte, Sichone a insisté sur la préparation et sur la qualité de l’adversaire, présenté comme “la meilleure équipe du groupe”. « Nous devons nous préparer de manière optimale à cette rencontre décisive contre le Maroc, pays hôte et meilleure équipe du groupe », a-t-il déclaré.
Au-delà de l’enjeu immédiat, Sichone a aussi détaillé sa philosophie : construire depuis l’arrière, privilégier la circulation plutôt que le jeu direct, et s’appuyer sur la technique de son groupe. Une approche assumée, avec un message de responsabilité envoyé à ses joueurs à l’idée de “représenter tout un pays” dans une compétition à part.

